PRENDRE POSSESSION DES BIENS QUE DIEU RESERVE AUX SIENS (Josué 1:1-5; 7-9)
(Prêché à Glain dimanche le 2 avril 2017) Retranscrit dans un style parlé) JH/sa
PREMIERE PARTIE
INTRODUCTION
Ce matin, nous commençons une nouvelle série de sermons dans le livre de Josué. C’est un livre passionnant parce qu’il parle de victoires. Dans les prochaines semaines, Dieu voulant, je vous invite à explorer avec moi le livre de Josué. Ensemble, nous allons traverser des rivières en crue, nous allons voir des murs tomber suite à des cris de victoire et nous verrons des peuples puissamment armés être mis en déroute par le peuple de Dieu.
L’apôtre Paul a dit que “Ces choses leur sont arrivées pour servir d'exemples, et elles ont été écrites pour notre instruction, à nous qui vivons en un temps où la fin est proche” (1Cor.10:11). Ainsi donc, nous sommes invités à découvrir les exemples qui se cachent dans ce livre et qui nous seront profitables si nous les mettons en pratique pour nos propres vies de tous les jours. Le titre de ce premier message s’intitule “Prendre possession des biens que Dieu réserve aux siens”.
Dieu a promis à tous ceux qui lui appartiennent de leur donner la victoire dans leur vie de tous les jours. Ainsi donc, chaque chrétien est appelé à remporter des victoires et à être du côté des vainqueurs. Vous vous dites peut-être: “Mais Pasteur, je connais des chrétiens qui ne remportent pas de victoires dans leur vie chrétienne.”
Chers amis, je connais moi aussi des chrétiens qui ne sont pas victorieux, et je dois avouer que ce n’est pas là le plan de Dieu pour leur vie. Dieu vous a donné la capacité de remporter victoire sur victoire, et si vous ne vivez pas une vie victorieuse au moment où je vous parle, vous vivez en dessous des capacités ou des privilèges que vous avez reçus en tant qu’enfant de Dieu.
Malgré le fait que la Parole de Dieu admette la possibilité d’un échec, elle ne soutient jamais l’idée que c’est quelque chose de normal. En fait, l’apôtre Paul affirme que “Dieu nous fait toujours triompher en Christ” (2Cor.2:14), c’est-à-dire qu’il nous entraîne sans cesse dans le cortège de victoire du Christ. Et le livre de Josué a été écrit pour nous montrer comment nous pouvons remporter la victoire que Dieu a prévue pour nous.
J’aimerais examiner le premier des quatre points suivants:
I- IL Y A DES CHOSES QUE DIEU VEUT QUE NOUS POSSEDIONS
Je commence à lire à partir du verset 1: “Après la mort de Moïse, serviteur de l'Éternel, l'Éternel dit à Josué, fils de Nun, serviteur de Moïse: Moïse, mon serviteur, est mort; maintenant, lève-toi, passe ce Jourdain, toi et tout ce peuple, pour entrer dans le pays que je donne aux enfants d'Israël. Tout lieu que foulera la plante de votre pied, je vous le donne.”
La dernière phrase que je viens de lire est une phrase à souligner dans votre Bible : “Je vous le donne comme je l'ai dit à Moïse.” “Vous aurez pour territoire depuis le désert et le Liban jusqu'au grand fleuve, le fleuve de l'Euphrate, tout le pays des Héthiens, et jusqu'à la grande mer vers le soleil couchant” (Jos.1:1-4).
Les Israélites vivaient maintenant dans le désert. Ils avaient quitté le pays d’Egypte, et ils se dirigeaient vers le pays de Canaan que Dieu avait promis de leur donner, un pays synonyme de victoire et de paix.
Dieu leur avait dit: “Vous allez maintenant traverser le Jourdain et vous allez prendre possession de ce grand et vaste pays, ce pays où coulent le lait et le miel. Je vous le donne, il est à vous, allez et prenez-en possession. Voilà le plan que Dieu avait pour son peuple et remarquez ce que cela implique.
Pendant que les Juifs étaient en Egypte, ils étaient sous le pouvoir de Pharaon, un maître sans pitié qui faisait ce qu’il voulait avec eux. C’était un tyran de la pire espèce qui représente le diable, et l’Egypte, le pays de l’esclavage, représente la condition de tous ceux qui ne sont pas sauvés.
Un peu avant la sortie d’Egypte, Moïse ordonna à tout le peuple de badigeonner les linteaux et les montants des portes d’entrée avec le sang d’un agneau immolé, afin que les premiers nés des familles, qu’elles soient juives ou égyptiennes, soient préservés de l’ange de la mort.
Afin d’avoir la vie sauve, il fallait faire mourir un agneau pur et sans tache, prendre de son sang avec un bouquet d’hysope et l’appliquer simplement comme signe sur l’entrée de leur maison. L’ange de la mort passerait outre. L’ange de la mort ne venait pas vérifier à l’intérieur des maisons si les familles avaient obéi à une loi ou à un commandement, ou si les couples étaient en dispute, ou si la cuisine était sale, ou si l’homme avait péché contre Dieu ou contre sa femme. Le sang suffisait amplement!
Certainement qu’on devait entendre dans toute l’Egypte des gens crier: “Scandale, scandale”, car c’était pour les égyptiens un acte scandaleux et choquant, un acte stupide et fou, mais ô combien c’était une image du salut qui se trouve en Jésus, l’Agneau de Dieu qui efface le péché du monde et en qui Dieu veut que nous mettions notre confiance.
Les Israélites étaient sortis du pays d’Egypte et Dieu les avait délivrés du Pharaon en accomplissant des miracles, le tout se terminant par la mort de l’agneau pascal et la séparation de la Mer rouge en deux. Mais lorsqu’ils sont sortis d’Egypte, ils sont entrés dans une vaste région appelée “le désert”, pour se rendre dans le pays que Dieu avait promis de leur donner, le pays de Canaan.
Il m’arrive de parler avec des gens qui pensent que le pays de Canaan fait référence au ciel. Mais c’est loin d’être le cas, parce que lorsque nous serons au ciel, il n’y aura plus de guerres, il n’y aura plus d’ennemis contre qui nous devrons lutter, il n’y aura plus de souffrance, il n’y aura plus de mort et il n’y aura plus de péché. Ce n’était pas le cas dans le pays de Canaan.
Frères et sœurs, le pays de Canaan n’est pas le paradis, c’est plutôt une image de la victoire qui est accessible pour tout enfant de Dieu, et pour toute église qui dit appartenir au Seigneur Jésus-Christ. C’est une image de la victoire que le chrétien remporte au milieu des combats qu’il doit affronter. Canaan n’est pas une image du ciel, mais plutôt une image de la vie victorieuse qu’un chrétien est supposé avoir en s’appropriant par la foi les promesses que Dieu a faites.
Les versets 1 à 4 nous rappellent que le Seigneur avait déjà donné le pays de Canaan aux enfants d’Israël. Moïse, l’homme de Dieu, était mort, mais l’œuvre de Dieu continuait. Il ne faut jamais penser un seul instant que Dieu ne peut poursuivre son œuvre sans nous. Les cimetières sont remplis de personnes qui se croyaient indispensables. Dieu a ordonné à Josué de conduire son peuple en Canaan afin de réclamer le pays qu’il avait promis de leur donner.
Dieu accomplissait une promesse qu’il avait faite à Abraham des siècles plus tôt. Le pays de Canaan était leur pays. Ils n’avaient plus besoin de continuer à errer dans le désert, ils avaient un pays que Dieu avait promis de leur donner, ils n’avaient plus qu’à se l’approprier.
Pourquoi dans la Bible Canaan est-il une image d’une vie de victoires? Parce que dans la Bible, Canaan signifie être libéré de toute contrainte.
1. Canaan signifiait être libéré de toute contrainte
Premièrement pour ces gens, Canaan signifiait être libéré. Car voyez-vous, jusqu’à ce moment-là, ils avaient été un peuple d’esclaves, mais maintenant ils avaient été libérés, et ils étaient appelés à vivre une vie libre de toute contrainte, une vie libre.
Dans Romains 6:14, l’apôtre Paul dit aux chrétiens de son époque: “Le péché n'aura point de pouvoir sur vous, puisque vous êtes, non sous la loi, mais sous la grâce.” Canaan rappelait aux Israélites qu’ils avaient été libérés. Jésus a dit aux Juifs venus l’écouter: “Si le Fils vous libère, vous serez vraiment libres” (Jn.8:36). Comment savoir si j’ai été vraiment libéré de la condition d’esclave dans laquelle je me trouvais? La Parole de Dieu apporte la réponse : “... vous êtes devenus esclaves de Dieu, vous avez pour fruit la sainteté et pour fin la vie éternelle” (Rom. 6:22).
Je regarde autour de moi et je vois des chrétiens qui sont découragés, qui luttent avec le péché et qui finalement continuent à errer dans un désert spirituel. Il ne doit pas en être ainsi. Dieu nous a promis la victoire en Jésus-Christ, afin que nous puissions vivre dans la paix et dans la joie.
2. Canaan signifiait un temps de rafraîchissement
Non seulement Canaan rappelait-il aux Juifs qu’ils avaient été libérés du joug de Pharaon, mais Canaan signifiait pour eux un temps de rafraîchissement. Car voyez-vous, jusqu’à ce moment-là, ils avaient vécu dans le désert. Et vous rappelez-vous ce qu’ils avaient comme nourriture dans le désert? La manne. Est-ce que nous vous rappelez combien de fois par jour ils en mangeaient? Trois fois par jour. Est-ce que nous vous rappelez combien de fois par semaine ils en mangeaient? Sept jours par semaine. Est-ce que nous vous rappelez combien de semaines il y a dans une année? Cinquante-deux semaines.
Est-ce que nous vous rappelez pendant combien d’années ils en ont mangé? Pendant quarante ans. La manne le matin, la manne le midi et la manne le soir. Je peux vous dire qu’ils en avaient jusque-là de la manne. Au point de dire “qu’ils étaient vraiment dégoûtés de cette nourriture que Dieu leur donnait” (Nb.21:5).
Mais voyez-vous, Canaan était un pays de blé et de vin. Canaan était un pays qui produisait des grappes de raisin qui sortaient de l’ordinaire et qui produisait des grenadiers. Canaan était un pays où coulaient le lait et le miel. C’était une terre qui produisait en abondance. Voilà pourquoi le pays de Canaan ne signifiait pas seulement être libéré, mais signifiait aussi un temps de rafraîchissement.
Ne voulez-vous pas être rafraîchi? N’êtes-vous pas fatigué de vous morfondre en tant que chrétien? Je connais des gens qui ressemblent à la femme de Lot. Ils sont sortis du pays d’Egypte, mais ils ne sont jamais entrés dans le pays de Canaan, parce que leur cœur est toujours en Egypte.
Ne voulez-vous pas quelque chose qui soit vivant? Ne voulez-vous pas vivre un temps de rafraîchissement? N’êtes-vous pas prêt à laisser Dieu vous rassasier avec toutes sortes de bonnes choses? Ne voulez-vous pas goûter à un peu de lait et de miel? C’est ça le pays de Canaan.
3. Canaan signifiait un temps de repos
Canaan signifiait être libéré de toute contrainte, Canaan signifiait un temps de rafraîchissement, mais c’était aussi un pays de repos. Parlant du pays de Canaan, l’auteur de l’épître aux Hébreux écrit que “C’était un pays où Dieu leur avait préparé le repos” (Hb.3:11). Il est bon maintenant de rappeler que “le repos” ne signifie pas “être inactif”. Ce n’est pas non plus se reposer de son travail, c’est se reposer tout en travaillant. C’est la différence entre brûler la mèche et brûler l’huile qui se trouve dans la lampe.
Un chrétien est appelé à vivre dans le repos. Sa vie est caractérisée par le repos, le repos du croyant. Jésus a dit: “Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos” (Mat.11:28). Mais avant leur entrée dans Canaan, ils ne connaissaient aucun repos. Ils étaient sortis du pays d’Egypte, mais ils ne connaissaient pas le repos. Ils avaient tourné, tourné et tourné en rond dans le désert.
Ils connaissaient chaque grain de sable par son nom. Ils s’étaient frottés à tous les cactus, mais ils n’avaient pas trouvé le repos. Ne voulez-vous pas le repos pour vos âmes? Ne désirez-vous pas vous reposer tout simplement dans les bras de Jésus et découvrir le repos du croyant? C’est là une image du pays de Canaan.
4. Canaan correspondait à la réalité des choses
Canaan ne se limitait pas à être seulement une image, mais une image qui reflétait la réalité. Car voyez-vous, jusqu’à ce moment-là, ils avaient eu des sermons sur Canaan et ils avaient eu une description de Canaan, mais ils ne connaissaient pas Canaan. Le Seigneur leur avait révélé jusqu’à quel point Canaan était un merveilleux pays, mais ils n’en avaient pas encore fait l’expérience. Ils n’avaient pas encore vécu dans le pays de Canaan.
N’êtes-vous pas fatigué d’écouter des sermons, et puis, c’est tout, ça s’arrête là? Ne voudriez-vous pas que certaines parties de certains sermons deviennent une réalité dans votre vie?
Savez-vous qu’il y a des gens qui viennent à l’Eglise et qui écoutent des sermons en n’ayant aucunement l’intention de mettre en pratique ce qu’ils entendent? alors qu'ils sont capables d’imiter tout ce qu’ils voient à la télévision en ne faisant simplement que la regarder. C’est une chose d’entendre, mais c’en est une autre d’entendre et de prendre la décision de mettre en pratique dans nos vies ce que nous avons entendu.
Ne voulez-vous pas que ce que vous avez appris et ce que vous entendez dans un sermon devienne une réalité dans votre vie? N’aimeriez-vous pas dire: “Seigneur, je sais ce que c'est de vivre une vie victorieuse.” Dieu veut que vous viviez une vie victorieuse.
Voici le secret de tout ce dont nous venons de parler. Dieu vous a déjà accordé la victoire. Avez-vous bien entendu ce que je viens de dire? Dieu vous a accordé la victoire. Vous vous dites peut-être en vous-même: “Eh bien, pourquoi alors je n’ai pas la victoire si Dieu me l'a déjà donnée? Dieu vous l’a déjà donnée mais vous ne l’avez pas encore prise. Vous ne possédez pas encore les biens que Dieu vous a déjà donnés.
La clé de tout cela se trouve au verset 3. Regardez ce qui est écrit: “Tout lieu que foulera la plante de votre pied, je vous le donne.” Remarquez maintenant qu’au moment où Dieu prononce ces paroles, les enfants d'Israël ne sont pas encore entrés dans la Terre promise et ils n’avaient pas encore traversé le Jourdain. Et pourtant, Dieu dit: “Tout lieu que foulera la plante de votre pied, je vous le donne.” Dieu ne dit pas: “Je vais vous le donner”, mais bien “je vous l’ai déjà donné”. C’est déjà à vous! Allez-y, prenez-le!”
Très peu de temps avant d’être arrêté par les juifs et condamné à être crucifié, Jésus a dit à ses disciples: “C’est maintenant le moment où ce monde va être jugé, maintenant le chef de ce monde sera jeté dehors” (Jn.12:31). Ce “maintenant” désigne le moment de la croix. C’est l’accomplissement de la prophétie de Genèse 3. Dans l'évangile de Jean, le Seigneur Jésus parle également de ce jugement sur Satan. Il dit: “Le chef de ce monde est déjà jugé” (Jn.16:11).
Son jugement complet et définitif est prononcé, même s’il n’est pas encore exécuté. Désormais, celui qui a la foi le considère comme étant un ennemi vaincu. Vous vous dites peut-être: “Eh bien, il continue à agir comme si ce n’était pas le cas.” Chers amis, tout ce que le diable espère, c’est que vous ne le sachiez jamais, parce qu’il a déjà été vaincu. A la croix, Jésus a vaincu Satan.
“Le Christ s’est livré lui-même pour nous sauver de nos péchés, afin de nous délivrer de ce monde présent et mauvais, selon la volonté de Dieu notre Père” (Gal.1:4). Par son sacrifice, Jésus nous a rachetés, ou si vous préférez libérés, de la puissance que le péché, le monde et Satan exerçaient sur nous (1Pi.1:18-19). Cela signifie que Jésus a déjà remporté la victoire pour nous. Ne priez pas pour remporter la victoire, Jésus a déjà remporté la victoire pour vous. Le pays de victoire est maintenant le vôtre.
Canaan représente donc la liberté, un temps de rafraîchissement, un temps de repos, une réalité et pas seulement une image. Ce pays est votre pays, mais vous allez devoir poser le pied de la foi sur les promesses de Dieu et dire: “Ses promesses sont miennes, je les revendique.” Et tant que vous ne ferez pas ce pas, vous ne vivrez jamais la réalité de ces promesses. Nous avons besoin de prendre possession des biens que Dieu réserve à ses enfants.
Savez-vous qu’il est possible de posséder quelque chose et de ne pas encore l’avoir? Un homme décida un jour de quitter l’Europe pour émigrer aux Etats-Unis. Il acheta un billet sur un paquebot, mais voulant économiser de l’argent, il prit avec lui du fromage et des biscuits salés. Pendant que tous les passagers festoyaient dans la grande salle à manger du paquebot, il mangeait son fromage et ses biscuits salés. Il était presque en train de mourir de faim, lorsqu’il découvrit que le coût des repas était inclus dans le prix du billet qu’il avait acheté. Chers amis, il avait déjà payé ses repas, il y avait droit, mais il n’a jamais pu en profiter, il n’a jamais pu prendre ce qui lui revenait de droit.
J’aimerais vous dire que le diable ne veut pas que vous sachiez que Dieu vous a déjà donné le pays de Canaan, qu’il vous a donné son repos, qu’il vous a accordé un temps de rafraîchissement et que ce qu’il vous a donné n’est pas seulement une image, mais cela correspond à la réalité. Dieu vous a donné tout cela, c’est à vous. Il vous suffit d’en prendre possession par la foi.
“La divine puissance de Dieu nous a donné tout ce qui est nécessaire pour vivre dans la piété” (2Pi.1:3). Il n’est pas écrit qu’il nous donnera, mais qu’il nous a donné. Vous avez tout reçu en Jésus-Christ, et un de ces jours, nous allons nous réveiller et nous comprendrons ce que Dieu a déjà donné à ses enfants.
Je vous rappelle que les mêmes promesses que Dieu fit à Josué sont toujours valables pour nous aujourd'hui. Vous pouvez toujours compter sur le Seigneur pour qu’il accomplisse pour vous tout ce qu'il a promis à Josué. Il l’a fait pour Josué, il le fera pour vous!
1. Il promet de nous donner encore la victoire sur tous nos ennemis (1Jn 5:4-5)
2. Il promet d’être toujours présent (Héb.13:5) et d’agir avec puissance (Matt. 28:18)
3. Il promet qu’il sera toujours fidèle (Matt.28:20)
4. Il promet de nous donner toujours la victoire absolue (1Cor.15:57; Apo.21:4,27)
5. Il promet qu’il tiendra toujours ses promesses (Rom.4:21)
La vie chrétienne consiste simplement à posséder ce qui est à vous. Est-ce que vous savez ce que c’est une vie victorieuse? C’est tout simplement marcher sur un terrain déjà conquis. C’est déposer, par la foi, votre pied sur les promesses de Dieu en disant: “Cette promesse est mienne et je la revendique.”
Le but de cette série de messages, c’est d’aider certains d’entre vous à arrêter d’errer dans le désert et de vous emparer des promesses que Dieu réserve à ceux qui lui appartiennent. J’aimerais que nous puissions tous ensemble aller de l’avant en faisant confiance à Dieu, en qui nous trouvons la paix et le repos dont nous avons tellement besoin. Je prie qu’à travers la prédication de sa Parole, nous serons témoins de la naissance d’un jour nouveau dans nos vies en tant qu’individus et dans notre Eglise.