QUE FAUT-IL FAIRE POUR ETRE VRAIMENT DES DISCIPLES DE DIEU? (Jean 8:29-36)
(Prêché à Glain, le dimanche 24 avril 2016 par Edward Wanat) (Retranscrit dans un style parlé) EW/sa)
Lisons la Parole de Dieu dans Jean 8:29-36 : "Celui qui m'a envoyé est avec moi; il ne m'a pas laissé seul, parce que je fais toujours ce qui lui est agréable. Comme Jésus parlait ainsi, plusieurs crurent en lui. Et il dit aux Juifs qui avaient cru en lui: Si vous demeurez dans ma Parole, vous êtes vraiment mes disciples; vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira (vous rendra libres). Ils lui répondirent: Nous sommes la postérité d'Abraham, et nous n'avons jamais été esclaves de personne; comment dis-tu: Vous deviendrez libres? En vérité, en vérité, je vous le dis, leur répliqua Jésus, quiconque se livre au péché est esclave du péché. Or, l'esclave ne demeure pas toujours dans la maison; le fils y demeure toujours. Si donc le Fils vous affranchit (vous libère), vous serez réellement libres."
Dans le texte qui nous intéresse ce matin, Jésus parle à des personnes qui l’entourent, il parle de liberté, de vérité, de demeurer dans sa Parole et de disciples. Liberté, vérité, demeurer dans sa Parole et disciples. Il est évident que tous ces mots sont liés ensemble. Un mot ne va pas sans l’autre.
En fait, Jésus est en discussion avec des gens religieux qui semblent préoccupés de servir Dieu et de lui obéir à leur meilleure manière. Ce sont des gens fiers de leurs origines (ils se disent descendants d’Abraham), de leur tradition et de leur religion. Ils sont ouverts, puisqu’ils sont venus écouter Jésus, et le texte dit même que certaines de ces personnes ont cru en lui.
Et que fait Jésus dans cette situation? Est-ce qu’il se frotte les mains en se disant: "Enfin des gens qui croient en moi et qui sont venus m’écouter"? Non! Bizarrement, Jésus n’est pas satisfait de cette situation ni de ces résultats, car Jésus ne compte pas le nombre de personnes qui sont venues l’écouter.
Mais pourquoi Jésus n'est-il pas content de cette situation? Tout simplement parce que Jésus connaît tous ceux qui sont venus l’écouter , il connaît leur pensée profonde et il connaît surtout leur véritable situation spirituelle.
Il sait très bien que ces personnes qui l’écoutent sont encore esclaves, il sait que ces personnes devant lui ne sont pas libres autant qu’elles le prétendent. Alors Jésus veut les amener plus loin, pour leur faire comprendre quelque chose: Jésus veut les libérer de leurs fausses croyances et de leurs fausses assurances.
Vous savez, Jésus, lorsqu’il parle, il ne réconforte pas toujours les gens dans ce qu’ils pensent ou dans ce qu’ils croient. Bien au contraire, parfois il les secoue, parfois il les choque, pas par plaisir de secouer ou de choquer. Non! mais c’est par amour et pour leur faire prendre conscience de leur véritable situation. Et la véritable situation de ces gens, c'est "qu’ils sont loin de la maison du Père, loin du salut".
Jésus remet en question certaines façons de penser ou de croire de ces gens. Et si Jésus remet en question certaines croyances de ces religieux, c’est pour pouvoir transmettre "La vérité de Dieu". Et vous savez quoi? Jésus n’en reste pas là. Il parle ouvertement, avec autorité, il n’a pas peur de susciter la contradiction, la critique et même la révolte de ceux qui l’écoutent.
Mais alors que faut-il faire pour être vraiment des disciples de Dieu?
Et c’est Jésus qui donne la réponse aux versets 31-32: "Si vous demeurez dans ma Parole, vous êtes vraiment mes disciples. Dans ma Parole, vous trouverez la vérité, et la vérité vous affranchira (la vérité vous rendra libres)."
Et il continue en disant un peu plus loin au verset 36: "Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres."
Ici, Jésus nous enlève certaines illusions. Il nous dit que nous ne pouvons pas nous libérer du péché nous-mêmes. Cela signifie que si ce n’est pas lui qui nous affranchit, nous ne serons jamais vraiment libres.
N’oublions pas que les gens qui écoutent Jésus sont des gens religieux, qui ont cru en lui et qui se croient libres, puisqu’ils disent: "Nous n’avons jamais été esclaves de personne."
Aujourd’hui encore on entend le même discours de la part de gens religieux: "Je suis libre et je fais ce que je veux et ce qui me semble juste." Et on décide soi-même de ce qui est juste et bon de faire. En quelque sorte, on prend la place de Dieu. Ce n’est plus lui qui nous guide, mais c’est nous qui prenons sa place, que ce soit dans nos décisions, dans nos Paroles et dans nos actes.
Malheureusement, on entend parfois cela aussi dans le milieu chrétien. On interprète, on change un peu la Parole de Dieu pour couvrir ou excuser nos manquements, nos fautes, nos péchés. On entend dire : "On est pas obligés de venir tous les dimanches à l’église... Dieu est amour et il me pardonne chaque fois que je chute puis re-chute puis re-re-chute puis re-re-re-chute dans le même péché et cela durant toute ma vie... Dieu est lent dans sa colère... Pas besoin d’église, je vais faire le culte le dimanche dans ma maison..."
Malheureusement, quand on reprend un chrétien qui est dans le péché, pour avoir la paix et pour clôturer la conversation, la réponse qu’il nous donne parfois est: "C’est entre moi et Dieu."
Chers frères et sœurs, si Jésus était là devant nous, lui qui a donné sa vie pour nous racheter, aurions-nous le courage de lui formuler ces mêmes phrases qui sont des prétextes pour excuser notre comportement et nos pensées, pour ne pas lui obéir et parce que cela nous convient?
Une des questions que l’on devrait se poser avant d’agir et de parler, c'est : "Que ferait Jésus à ma place?"
Il y a trois obstacles principaux qui se dressent sur la voie de celui qui veut devenir un véritable disciple.
Il y a d'abord l'obstacle impulsif, c'est à dire l’amour du confort et de l'argent. Ensuite il y a l’obstacle temporisateur, c'est à dire que ce qui prime dans notre vie, ce sont nos propres priorités, les affaires et le travail. Et puis, il y a l'obstacle sentimental qui donne priorité aux liens d’affection familiale; et cela va jusqu'à prendre notre famille et nos enfants en otages pour ne pas participer aux activités de l’église.
Les gens qui écoutent Jésus sont religieux, ils croient en lui et ils se croient libres de faire ce qu’ils veulent. Pourtant, ils ne sont qu’au début et ils n’ont jamais bougé sur le chemin de la sanctification.
C’est bien d’écouter Jésus et de croire en lui, mais cela ne suffit pas pour être vraiment un disciple de Jésus.
En fait Jésus leur dit : "Si vous voulez être libres, obéissez moi!"
Jésus dit clairement que sans demeurer dans sa Parole, sans obéissance à sa Parole, vous ne serez jamais libres et vous ne serez pas vraiment ses disciples. Ça veut dire qu’il faut habiter dans sa Parole, en faire sa demeure, la lire tous les jours et pas seulement la visiter de temps en temps.
Et bien sûr, le discours de Jésus suscite des réactions. Cela ne plaît pas aux gens qui l’entourent et qui disent: "Hé ho Seigneur, tu veux nous rendre libres? Mais nous sommes chrétiens, on n'a besoin d’aucune délivrance. Non merci! Nous sommes déjà libres, et puis nous n’avons jamais été esclaves de personne."
Eh oui, cette réaction montre combien Jésus a touché un point sensible chez ces gens religieux. Cette Parole de vérité touche l’orgueil des hommes qui se croient libres et qui ne peuvent admettre qu'ils sont des esclaves.
Mais Jésus continue et il affirme aux versets 34-35: "En vérité, en vérité, je vous le dis, quiconque se livre au péché est esclave du péché. Or, l’esclave ne demeure pas toujours dans la maison; le fils, lui, y demeure toujours."
Le verset 36 dit : "Si donc le Fils vous affranchit (vous libère), vous serez réellement libres." Autrement dit : "Si vous vous livrez au péché, votre liberté n’est qu’illusion. En réalité, vous êtes quand même esclaves du péché."
C'est une vérité qui ne plaît pas forcément aujourd’hui où le péché est banalisé voire excusé. Et les personnes qui dénoncent le péché, et non le pécheur, sont trop souvent ridiculisées. Il arrive même que le péché devienne parfois la norme jusque dans les églises.
C’est vrai que nous n’aimons pas être confrontés à tout ce qui semble menacer notre liberté, notre confort, que ce soit par d’autres personnes, par la maladie, la souffrance, l’indigence, la pauvreté, la mort ou nos propres faiblesses. Mais Jésus affirme que derrière cela, il y a quelque chose de plus fondamental qui nous rend esclaves, c'est "le péché".
Si Jésus dit cela, c’est pour nous en affranchir. "Si vous demeurez dans ma Parole, vous êtes vraiment mes disciples; vous connaîtrez la vérité et la vérité vous affranchira."
Pour nous libérer et pour devenir de vrais disciples, Jésus nous invite à demeurer dans sa Parole. Car en habitant dans cette Parole, cette Parole de vie et de vérité, elle nous fera découvrir notre vraie situation, nos péchés, et nous fera découvrir aussi celui qui est la vérité et qui seul peut nous libérer du péché.
Jésus nous demande de demeurer dans sa Parole.
Il y a une différence entre visiter un château et habiter dans un château. Visiter un château, presque tout le monde peut le faire, en règle générale, il faut payer une entrée. Mais pour habiter dans un château, il faut un peu plus de moyens.
Pour habiter dans la maison du Père, le prix est trop élevé pour moi, pour vous et pour tous les humains. Seul Dieu a les moyens de payer cela: c’est son fils Jésus-Christ qui a payé sur la croix. Il nous permet ainsi de devenir enfants de Dieu, et donc d’habiter dans la maison du Père gratuitement.
Au verset 35, Jésus parle de deux personnages différents dans cette maison. Il y a le fils et il y a l’esclave qui ont tous les deux des situations et des droits bien différents dans la maison.
L’esclave (le religieux) ne reste pas toujours dans la maison, il entre, il sort, il doit travailler et ensuite il repart. Ce qui est dans la maison ne lui appartient pas et il ne reçoit que ce qu’on veut bien lui donner.
Tandis que le fils (le disciple) demeure toujours dans la maison, dit Jésus.
La liberté que Jésus propose à ceux qui l’écoutent et qui demeurent dans sa Parole, c’est la liberté du fils ou de la fille de la maison. La liberté de vivre une relation filiale, une communion avec le Père dans la maison et de partager ses richesses.
Jésus dit que le péché asservit, qu’il ne rend pas libre et qu’il enlève les droits dans la maison. On ne peut pas entrer et sortir comme on veut, car le péché nous emprisonne, nous restreint, diminue notre liberté et casse notre relation filiale et intime avec Dieu.
Avant le culte, on devrait se recueillir et confesser nos péchés avant même la prière. La possibilité nous est offerte de nous débarrasser de ce péché, de nous affranchir par la Parole de Jésus-Christ qui nous assure de son pardon si nous le confessons, pour que nous puissions retrouver notre place de fils et de fille dans la maison du Seigneur.
A propos du péché, dans un commentaire, Jean Calvin dit que cette liberté dont Jésus parle ici est celle qui nous affranchit (qui nous libère) de la tyrannie de Satan, du péché et de la mort.
Le péché m’enchaîne tant et aussi longtemps que je ne demeure pas dans la Parole de Jésus et que je ne suis obéissant à sa Parole. Mon péché, c’est de vouloir n'en faire qu'à ma tête et de suivre mes propres chemins, de vouloir être mon propre dieu et mon propre maître.
Mais en demeurant dans sa Parole et en étant son disciple, je suis affranchi de la peur et de la crainte, car je ne suis plus jamais seul.
Il y a ce beau verset 29, cette belle promesse, où Jésus dit: "Celui qui m’a envoyé est avec moi, il ne m’a pas laissé seul, parce que je fais toujours ce qui lui est agréable."
Demeurer dans la Parole de Dieu, c’est faire ce qui est agréable à Dieu.
En suivant Jésus, je suis libéré de moi-même, moi qui n’arrive pas à me libérer tout seul, moi qui ne connais pas toute la vérité par moi-même, moi qui ne connais pas certains aspects de ce qui est bien et mal, moi qui ne connais pas la solution à tous mes problèmes, moi qui désespère parfois de moi, moi qui ne peux me changer, et moi qui suis limité.
Chers frères et sœurs, la norme, c’est Jésus-Christ, c’est notre exemple à suivre. Mais si moi, je me prends moi-même comme étant la norme, je prends la place de Jésus.
Et en suivant le Seigneur Jésus, je deviens libre des gens qui m'entourent et de ce qu’ils pensent.
L’écrivain Wells a dit: "Beaucoup de gens entendent mieux la voix de leurs compatriotes (quand cela les arrange bien sûr) que celle de Dieu." Cependant, celui qui suit le Seigneur Jésus n’est plus dépendant du jugement des humains, mais de Dieu seul, et cela libère.
Cela ne veut pas dire que je ne doive pas tenir compte des exhortations de mes frères et sœurs lorsqu’ils viennent de la part de Dieu. Mais ça veut dire que je ne suis plus dépendant des gens qui m'entourent, que ce soit dans mon témoignage, dans mon désir de ressembler à Jésus et de faire ce qu’il me demande.
Ce que dit Jésus dans ce texte, ce sont des paroles dures et sans équivoque. Il ne dit pas que "Tout le monde il est gentil". Non! Jésus dit la vérité telle qu'elle est, et il la dit pour nous affranchir, pour nous libérer. Nous ne devons pas désespérer et nous ne devons pas nous lamenter. Non! Nous devons demeurer dans cette Parole de Jésus, Parole qui dit que Dieu nous pardonne si nous confessons nos péchés.
Nous devons lui obéir, non par peur, mais par confiance, parce que nous savons qu’il est la vérité, que sa Parole est pour notre bien.
L’esclave (le religieux) risque de se faire renvoyer de la maison. Il doit travailler encore et encore, mais le soir venu, il doit quitter la maison.
Tandis que le fils peut jouir de tous les biens de la maison et prendre toute la nourriture qu'il veut (on parle ici d’une nourriture spirituelle). Il y a de la nourriture en abondance dans la maison de mon Père qui m’aime et qui m’a accepté dans sa maison comme son propre fils. Je peux manger à ma faim.
Je ne connais pas de parents qui aiment leurs enfants et dont les enfants doivent quitter la table le ventre creux. C’est plutôt l’inverse, il faut parfois leur dire : "Mais mange au moins un petit peu."
Dieu nous dit la même chose. Il a préparé une table avec beaucoup de plats succulents, et nous, nous ne mangeons que ce que nous aimons. Nous ne faisons pas toujours les bons choix et ensuite, nous sommes étonnés que dans notre vie chrétienne, nous n’avons pas assez d’endurance et que nous chutons à chaque obstacle dans notre vie. On n’est pas bien dans nos pensées, dans notre corps, on n'a plus le même rapport avec Dieu, tout cela parce que nous n’avons pas mangé équilibré, parce que nous manquons de "vitamines".
Je voudrais vous donner une illustration de cela.
Parfois auprès de Dieu, nous mangeons toujours le même plat de nourriture: c’est le plat "Pardon Seigneur" ou le plat "Aide-moi Seigneur" etc. Par contre, nous laissons de côté le plat "Obéissance à sa Parole"ou le plat "Fidélité" ou le plat "Patience". Nous laissons de côté le plat "Pardonner aux autres"ou le plat "Réconciliation" ou le plat "Merci Seigneur" ou le plat "Partage et libéralité", et bien d'autres plats aussi importants.
Nous ne mangeons pas assez équilibré auprès de Dieu, nous ne faisons que ce qui nous plaît et qui ne nous ne coûte pas trop.
Voici quelques exemples d'autres plats qu'on oublie :
- Celui-là ou celle-là, je ne peux plus le ou la voir en peinture et je ne lui pardonnerai jamais de ce qu’il ou elle m’a fait ! On oublie le plat "Pardonner aux autres".
- Si je ne participe à aucune activité de l’église parce qu'un jour on m’a blessé, où est le pardon du véritable chrétien? On oublie le plat "Réconciliation".
- Quel est l'exemple que j’ai donné ou que je donne aujourd’hui à ma femme, à mes enfants qu’ils soient chrétiens ou pas? Avons-nous oublié le plat "Témoignage"?
- L’amour de Dieu, Jésus crucifié, l’obéissance à sa Parole... Qu’est ce que j’en fais ?
Chers frères et sœurs, dans la maison de Dieu, il y a tout en abondance et pour tout le monde, pour chacun de nous ici présents. Dieu nous invite à prendre ce que lui, le Seigneur, a préparé pour nous, et il nous dit à chacun et chacune : "Sers-toi, rassasie-toi."
Nous sommes donc tous invités à demeurer dans la maison de Dieu, à faire ce qui lui est agréable et à vivre de Lui et de ce qu’Il nous donne. Jésus ne demande pas un tout petit peu, pas même beaucoup. Non! Jésus demande tout.
Il nous demande de demeurer dans sa Parole, pas d' y entrer et d'en sortir comme bon nous semble. Non!
Chère frères et sœurs, je vais poser trois questions, mais n’y répondez pas à haute voix :
Un chrétien peut-il devenir religieux? Oui!
Un religieux peut-il rester religieux? Oui!
Un religieux peut-il devenir chrétien, c'est à dire un véritable disciple de Jésus? Oui!
Avant de terminer, je voudrais maintenant m’adresser à ceux qui, un jour, ont donné leur cœur au Seigneur.
Rappelez-vous cet instant, ce moment béni où vous vous êtes donnés au Seigneur. Quelle joie pour le Seigneur et quelle fête dans le ciel. Quelle joie dans votre cœur, et quelle joie parmi vos frères et sœurs en Jésus. Quel chemin parcouru avec le Seigneur!
Mais un jour, pour certains, vous avez quitté le chemin avec Dieu pour suivre votre propre chemin, sans Dieu. Où en est votre premier amour avec Dieu? Lisez-vous encore régulièrement sa Parole ou uniquement le dimanche matin à l’église?
Chacun et chacune, au plus profond de vous-mêmes, au fond de votre cœur, vous savez très bien sur quel chemin vous vous situez. Il est temps de mettre de l’ordre dans votre vie et de reprendre le chemin vers la maison de Dieu.
Chers amis, pour vous qui n’avez pas encore pris de décision, Dieu vous invite à faire partie de sa famille. Dieu vous invite à entrer dans sa maison au travers du sacrifice de son fils Jésus.
Il n’est pas trop tard pour changer de maison. Faites le choix de votre vie, celui d’appartenir au Seigneur et de devenir enfants de Dieu et disciples de Jésus.
Un jour viendra où nous tous, nous devrons quitter ce monde. Mais Jésus vous a préparé une maison éternelle. Voulez-vous y entrer en tant que fils ou filles de Dieu, disciples de Jésus? La décision vous appartient. Vous n'aurez aucun prix à payer parce que Jésus a payé sur la croix.
Jésus nous demande de tout abandonner pour lui. Lorsque nous entrons dans sa maison, nous devons laisser tout lien avec notre ancienne demeure. Mais en retour, il nous donnera tout ce qu’il a, et ce qu’il a, c’est beaucoup plus que les petites choses que nous allons perdre.
Que Jésus fasse de vous ses fils et ses filles. Jésus vous invite tous à vivre avec Lui dans sa maison pour toujours.
Pour terminer, n’oubliez jamais, chers frères et sœurs, chers amis, que tout ce qui n’est pas agréable à Dieu est un péché, et que la seule condition pour être agréables à Dieu, c’est de demeurer dans sa Parole.
"Si vous demeurez dans ma Parole, dit Jésus, vous êtes vraiment mes disciples, vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira, elle vous libérera" (Jean 8:31).
Amen.